Compte tenu de la dépendance du comportement des matériaux polycristallins métalliques à leur texture, la réduction de la dimensionnalité des données expérimentales paraît souhaitable pour établir un modèle multi-échelle. Dans cette étude, l’analyse en composantes principales est appliquée à un ensemble de fonctions d’orientation cristalline, issues des observations par microscopique à balayage. Puis, une variété de textures admissibles est construite dans l’espace latent, permettant l’interpolation des textures intermédiaires, en fonction des paramètres du process.